Juliet Hemingway
 Nombre de messages : 6
Age : 38
Nationalité : Ecossaise & Allemande.
European song : Textbook love - Fleet Foxes.
Copyright : avatar : vindicated
Date d'inscription : 15/11/2008
 |  Sujet: Juliet Hemingway - 100 %  Sam 15 Nov - 19:48 | |
|   Juliet Lou.
Vingt deux ans.
Edinburgh, Ecosse.
Roulietta.
Ecrivain. | HEMINGWAY.
04 / 11 / 85.
Ecossaise & allemande.
Célibataire.
Eurotriper. |
c'est l'histoire de ma vie
EVERYBODY COMES TO HELSINKI
PREMIER VOYAGE.
« C’est quand qu’on arrive ? » « Bientôt. » « Oui mais c’est quand bientôt ? » « Bientôt ! ». Le trajet s’éternisait, il fallait dire qu’ils n’avaient pas eu beaucoup de chance sur ce coup-là. Pleins de galères leurs étaient arrivés : pannes, chaleur impossible, et j’en passe. Mais dans quelques heures à peine, ils allaient arrivés. Oui, bientôt. Ils se reposèrent sur la banquette arrière, tous les trois, si vulnérables comme de simples enfants. « Euh, sorry, but It’s finish ». Malgré son malheureux accent luso-anglais, ils comprirent qu’ils venaient d’arriver à Lisbonne, Portugal. Eux, les trois petits écossais d’Edinburgh. « Okay, thanks for all. You are nice! Thank you very much ».
« Lisboa.
- Par pitié, tu le dis tellement mal ! Arrêtes Soren.
- C’est bon, tu ne vas pas recommencer !
- Ben alors arrêtes d’être si… si …
- Si ?
- Si toi !
- J’ai juste parlé portugais, t’excites pas !
- Mais tu m’énerves !
- Bon bon bon, Juliet, Soren, et si on cherchait un moyen de manger au lieu de vous chamailler comme des enfants ? Il faut être ingénieux, désolée de vous le rappeler, mais on ne roule pas vraiment sur l’or.
- Tu as raison April, tu as raison. De toute façon, j’en ai marre de me disputer avec elle. C’est la même chose depuis le début. Je crois que, à propos de ce voyage, je vais en arrêter là.
- Bien !
- Non, Soren, c’est nous trois ou rien. Tu ne peux pas nous quitter. Réconciliez-vous, ça ne peut pas continuer comme ça.
- Il n’y a aucun moyen de remédier à ça April. S’il veut partir, qu’il parte ».
Une phrase. Suivie d’un regard de défi. Ils s’entendaient bien pourtant, du moins ils pensaient qu’ils s’entendraient bien. Ils ne s’étaient vu qu’une fois, le courant avait eu l’air de passer et leurs instincts d’aventurier les avaient poussés à entreprendre ce long voyage à travers l’Europe. Dès les premiers jours, les confrontations débutèrent. Pour un oui ou pour un non, ils avaient soudain eu l’âge d’un enfant. Deux vrais gamins qu’April essayait tant bien que mal de gérer. Et voilà où ils en étaient arrivés, leurs chamailleries allaient causés la dissolution du groupe, et on ne pouvait savoir celui qui en était le plus affecté. Le Portugal, bien que ce pays soit magnifique, fut un mauvais souvenir pour nos joyeux lurons.
DEUXIEME VOYAGE.
« Eh April, nous sommes en Italie. Profites-en ! Rome est nous, Venise, Naples, tout nous est accessible. Avec ou sans Soren. C’est peut-être notre dernier voyage à trois, mais pas notre dernier voyage tout court.
- Je sais. C’est que, sans lui, ça sera différent.
- Peut-être. Les cuvettes seront toujours baissées, quand on peut regarder la télé, fini le programme football. Il y a quelques avantages. Relativise.
- Je crois que je l’aime ».
Un silence. Un long silence. Un regard figé, le bruit d’un robinet mal fermé. Peut-être avait-elle mal entendue ? Elle détourna son visage en fixant la tête baissée de son amie. Non, elle ne mentait pas, elle aurait su reconnaître ce comportement entre mille. Celui de l’honnêteté, mais aussi de la gêne. April aimer Soren. Et puis quoi encore ? Et qui pouvait tenir à cet homme ? Mais son incompréhension se transforma en culpabilité. Son amie aimait la personne qu’elle avait poussé à partir. C’était bête et méchant, mais Juliet se sentait mal. Un malaise ressenti par l’amoureuse secrète.
« Oh, je ne t’en veux pas. Tu n’y es pour rien, c’est lui qui veut partir. C’est peut-être mieux comme ça. Ne t’en fais pas.
- Non mais non ! Je me refuse de te laisser comme ça. Je vais y remédier. Je vais aller de ce pas m’excuser. Allez, j’y file. Et non, ne dis rien ».
Elle s’éclipsa. D’une démarche théâtrale, elle avait quitté sa chambre. Le long couloir qu’elle du traverser ne lui avait jamais paru aussi long. Elle s’apprêtait à faire des excuses à cet homme qu’elle méprisait. La porte de sa chambre. Elle frappa. Une voix se fit entendre. Elle entra.
« Soren. Désolée de te déranger. Je peux te parler ?
- Me parler ou me crier dessus ?
- Non parler, de ces disputes justement.
- Je t’écoute.
- Mh, comment dire ? Je, je ne veux pas que tu t’en ailles.
- Pardon ?
- Non, attends, ne pars pas. Je suis désolée d’avoir agie comme une peste avec toi, pourtant tu es quelqu’un de gentil au fond. J’avais une sale image de toi peut-être, enfait je ne sais pas. Je m’amusais à te malmener, et le fait que tu me répondes m’énervait. C’est débile, je ne sais pas pourquoi je me suis attaquée à toi de la sorte. Pourtant, April et moi voulons que tu restes avec nous, jusqu’au bout. C’est la plus belle aventure de notre vie. Tu ne peux pas nous quitter. Et ce qui est étrange c’est que je te déverse des flots de paroles, et l’Italie fait que j’accompagne ces paroles avec des gestes superflus, mais ce qui est encore plus étrange, c’est qu’en traversant le couloir, je voulais seulement te faire rester en te mentant et en te disant que je tenais à toi, mais je me rends compte que ce n’est pas un mensonge et que ton absence ferait vraiment un énorme vide. Le fait est que je me suis attachée à toi, et que je ne peux te voir partir comme ça, sans rien faire, alors, s’il te plait, restes avec nous Soren ».
Elle pensait ce qu’elle disait, et ceci l’étonnait. Juliet tenait à lui, bien qu’elle en dise le contraire. Et une hypothèse lui vînt à l’esprit. Peut-être s’était-elle rendue compte que son amie tombait sous le charme du jeune homme, et pour ne pas ressentir quoique se soit pour lui, elle avait appris à le détester. Une réaction qui lui était fréquente, alors pourquoi ne serait-elle pas applicable dans ce cas-ci ? Elle fixa ses grands yeux bleus sur lui, attendant un mot, une simple réaction, un ridicule geste. Il s’avança. Il passa ses mains sur son visage, sur son corps. Ils s’embrassèrent. Ils ne cessèrent de s’embrasser toute la nuit. L’alchimie avait fonctionné. L’Italie était romantique. Ils s’en rendaient compte. L’Italie, un merveilleux souvenir pour les amants, mais – sans le savoir – ce fut le pire pour April. Sans qu’elle ne le sache, son amie venait de la tromper.
TROISIEME VOYAGE.
Amsterdam. Drogues, alcools, prostitués. Vous connaissez tous le refrain.
April n’avait jamais su ce qu’il s’était passé ce fameux soir en Italie, mais elle ne cherchait pas à savoir. Elle avait confiance en son amie, et le plus important était que Soren était resté. Entre les trois amis, un mode de vie s’était installé, une certaine organisation avait pris forme, et ce matin, c’était à April d’aller à la recherche d’un petit déjeuner. Un moment où Soren et Juliet pouvaient enfin profiter l’un de l’autre. Des moments rares et précieux.
« Elle ne rentre pas avant un quart d’heure, quinze minutes de liberté.
- J’en ai marre de me cacher.
- Je sais. Mais elle m’a avoué t’aimer, je ne peux pas lui dire que depuis ce jour-là, je suis avec toi.
- Mais tu n’es pas obligé de lui raconter comment cela s’est passé. Tu lui dis qu’on est ensemble depuis quelques jours seulement.
- Je ne peux pas Soren, excuse-moi.
- Bien, mais moi je n’en peux plus.
- Je t’en prie, restons encore secrets. Le temps d’un ou deux voyages encore, et je te jure que je lui dirais la vérité.
- Je veux bien te croire, mais je te tiens à toi, et je ne veux pas me cacher indéfiniment.
- Ne t’en fais pas ».
La discussion avait suivie son cours, April était rentrée, les bras chargés de pains aux chocolats, croissants, éclairs et tout autres pâtisserie, mais payé par qui ?
« Eh, je vous présente Matthijs. Je l’ai rencontré en allant à la boulangerie, et il nous a payé tout ce que vous voyez là. Alors je l’ai invité à venir avec moi, c’était la moindre des choses.
- Mon dieu ! Tu m’étonnes. Merci Matthijs. C’est vraiment adorable ».
Et tout les quatre discutèrent autour de la table remplie pour une fois. Et chose très étonnante, April s’entendait plutôt bien avec son nouvel ami. Ils étaient bien assortis sous les yeux attendris des amants. Peut-être que … ? Passons. L’heure avait tourné, l’aimable invité du s’en aller, promettant de revenir. En une matinée, ils en avaient appris beaucoup sur sa vie. Un pauvre enfant, sans attaches, sans famille. Et quand l’idée survint à April de lui proposé de participer à leurs voyages, Juliet et Soren n’émirent aucune opposition. Matthijs accepta. Ils étaient quatre à présent, et tous s’entendait à merveilles.
JE CROIS TOUJOURS AU PERE NOEL
- C'est une bonne vivante, toujours heureuse, et fêtarde quand il le faut. Il faut profiter, même si beaucoup le dise, peu le fond et Juliet s'applique à ne pas être dans cette dernière catégorie.
- Elle fume assez quand même. Elle voudrait bien arrêter, mais disons que la volonté ne suffit pas vraiment dans ces cas-là. Au sujet du tabac, elle n'est pas très courageuse.
- Elle est passionnée de musiques et de littératures. Elle est d'ailleurs écrivain, mais son rêve le plus cher aurait été d'être guitariste. Même si elle ne l'est pas, Soren lui sait en jouer. Et cela ne fait qu'augmenter son charme; ah ! les musiciens.
- Sa plus grosse manie est, certainement, de toujours passer la main dans ses cheveux quand elle n'a rien à faire. Ses cheveux la distrait. Bon, je l'admet, cela fait un peu superficiel, mais tant pis. Chacun ses manies.
- Elle est superstitieuse. Bon, si elle voit un chat noir, elle ne va se cacher, mais si il y a une échelle, elle prend bien soin de la contourner, où, lorsqu'elle casse un miroir, toute la journée, elle garde sur elle son treffle et sa patte de lapin. Elle tient sa superstition de sa grand-mère; merci mamie !
- C'est une rêveuse romantique mais qui ne veut pas des histoires banales. Une fille très compliquée, mais à qui ce voyage la satisfait par la découverte de l'inconnu, du mystère, et des relations qu'elle entretient avec les autres personnes.
MON PERE, MA MERE, MES FRERES & MES SOEURS
 
April O'neil.
Kirsten Dunst.
" C'est grâce à moi si Soren, Juliet et moi-même avons décidé de faire ses voyages en Europe. Je les avais présenté un jour et comme le courant était bien passé entre eux, j'ai décidé de soumettre cette idée de partir à l'aventure. Cependant, j'ai avoué à mon amie que j'avais des sentiments pour Ertscott alors que celui-ci voulait partir à cause des disputes incessantes avec Jul'. Mais ils ont discutés, et je ne sais pourquoi - même s'il y a de petits pics de temps en temps - ils s'entendent parfaitement à présent. Tant mieux. Sauf que maintenant, Matthijs vient de nous rejoindre pour nos voyages, et je ne suis pas du tout insensible à son charme. Il faut dire qu'il est très attirant. Serais-je entrain de délaisser Soren pour mon bel invité ?
 
Soren Ertscott.
Jared Leto.
" Au départ du voyage, je ne pouvais pas supporter Juliet. Sans aucune raison valable, elle s'est mise à me hair et tout les jours, nous nous disputions pour des sujets futils. Sauf que le romantisme italien à agi, et je suis avec elle. Sauf que l'on se cache car elle a peur de la réaction d'April lorsqu'elle apprendra la nouvelle. Mais depuis quelques temps, je vois bien que Matthijs tourne autour d'April et je fais tout pour les unir et pouvoir enfin m'afficher avec ma Juliet.
 
Matthijs Claes.
Josh Hartnett.
" Devant la boulangerie d'Amsterdam, j'ai rencontré April. Elle m'a tout de suite plu. Je lui ai payé ses patisseries, puis je suis allée avec elle rejoindre ses amis. Depuis, je participe à leurs voyages. J'en suis très heueux car j'ai enfin des amis, une sorte de famille et, de plus, je peux me rapprocher de la jolie O'neil ".
je lève la main droite et je le jure
Pour cerner un peu votre personnage, une série de question auxquels vous devez répondre en toute franchise, le tout en quelques lignes.
Mon juron adoré; Lorsqu'elle est venue en France, une bande de joyeux lurons lui ont enseigné quelques jurons nationaux. De retour en Ecosse, elle n'en a retenu que très peu comme : merde, p*tain, etc; mais celui pour lequel elle a eu un vrai coup de coeur est : Enfoiré.
Si j'étais Dieu je ferais quoi pour aider le monde; Comme les miss france * petite voix niaise * " la paix dans le monde ". Mh, bon c'est un bon plan, c'est certain et puis, si elle était dieu, elle pourrait supprimer les guerres facilement et creer un monde utopique.
La ville d'Europe que je vénère; Paris, France. C'est tellement bateau comme réponse, mais comment ne pas apprécier cette ville magique ? Et puis, elle a une certaine réputation : la ville de la mode, de l'amour. Tout est fait pour que l'on tombe amoureux d'elle, et Juliet - pas vraiment marginale - n'a pas échappé à la règle.
Testons ta géographie; cite moi rapidement la capital de l'Irlande, de la Suède, de l'Estonie et puis de la Finlande, pour pas trop te griller; (elle sert à rien cette question mais bon ->)
L'Irlande du nord a pour capitale Belfast, alors que pour l'autre partie de l'Irlande, c'est Dublin. Celle de la Suède est bien évidemment Stockholm, celle de l'Estonie est Tallinn et, finalement, celle de la Finlande est Helsinki évidemment.
c'est la fin des haricots
Dernière édition par Juliet Hemingway le Dim 16 Nov - 16:07, édité 2 fois | |
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et le contexte est original et j'adore quoi ! 
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